Cette critique de mon recueil m’a, par un étrange cheminement mental, ramené à cette interview de Don DeLillo datant de novembre 2010 (oui, oui…).
A mes yeux, écrire « Iphone », « Exxon » ou « McDo » dans un texte qui parle d’environnement a un sens, surtout dans un monde où on ne peut quasiment plus voyager sans tomber sur un Starbucks coffee…
Ce qui n’est pas ravagé est assimilé. Ou, effet de miroir, ce qui ne peut être assimilé est fracturé.
L’Amérique est sans doute un beau cauchemar, mais c’est aussi un méchant virus qui grignote toute la planète…